No-place de Chiehsen Chiu, 2016, 6’20 – Ecole des beaux-arts
Un projet de reconstruction urbaine à partir d’une terre désolée, une fantaisie utopique qui se confronte à la réalité.
Le Jardin de la Reine de Corentine Le Mestre, 2016, 5’42 – Ecole des beaux-arts
Le Jardin de la Reine renferme en son sein les restes d’un ancien jardin botanique. L’image latente de son paysage se retrouve inversée, projetée sur le mobilier du salon transformé en camera obscura.
Talaveresco de Vir Andres Hera, 2014-2016, 5’45 – Ecole des beaux-arts
Le personnage est une jeune femme qui semble parler dans une langue, le tlapaneco (qui n’existe qu’à l’oral), parlée dans l’état du Guerrero au sud du Mexique. Cette langue, que l’artiste essaie de préserver et qu’il tente d’écrire avant qu’elle tombe dans l’oubli, existe-t-elle vraiment?
L’autre côté d’Isabelle Bourgueil, 2016, 33′ – UPV Montepellier 3 et les Ateliers Varan
Dans une petite ville des Cévennes, les plaques de la « rue de l’Industrie » ont disparu. D’un côté de la rue, le chantier d’un nouveau « Musée d’Arts et traditions populaires ». De l’autre, une cité HLM dégradée, où les résidents forment un peuple pauvre et disparate. Un mur les sépare.
Les nouveaux modernes de Violeta Ramirez, 2016, 45′ – Univ Paris Ouest Nanterre
Faire soi-même à travers l´expérimentation, tisser des rapports plus directs et respectueux avec l’environnement, prendre ses responsabilités plutôt que déléguer, voilà le mode de vie de ces « nouveaux modernes ».
La mémoire et la mer de Jean Boiron-Lajous, 35′ – Aix-Marseille Université
Mon frère et moi sommes les fils d’une mère pied noire. Alice, une amie de mon frère est petite fille de Harki. Je veux filmer ces deux personnages pour ce qu’ils portent d’histoire.